Box duologie nous interdire d'aimer

💔 Des cœurs blessés…

Ariana a grandi sous la bienveillance de sa grand-mère, Mamie Pêche, dans un foyer empreint de générosité et de douceur. Pourtant, un drame passé en a fait une femme forte, mais profondément vigilante. Alors que son couple de longue date vacille, ses certitudes s’effritent… De son côté, Ezra est un policier sexy et blessé, accroché à son arrogance comme à une armure. La confiance en lui et en l’amour lui est devenue presque étrangère. 

Leur première rencontre s’effectue dans des circonstances tendues — une arrestation — mais les étincelles sont immédiates et puissantes. Le désir, malgré lui, s’installe. Malgré les doutes et les blessures, leur attirance devient un catalyseur pour des émotions qu’ils pensaient enfouies.

🌪 Entre obstacles, émotions intenses et tabous

Le récit devient vite un tourbillon d’émotions brutes : trahison, fragilité, remise en question. Ariana et Ezra vont devoir affronter leurs passés, leur peur de s’engager, et finalement se demander… le destin peut-il leur interdire de s’aimer ? 

⏳ Huit mois de silence et de souvenirs brisés

Huit mois se sont écoulés depuis les bouleversements du tome 1. Ariana traverse cette période seule, défendant son passé tandis qu’Ezra lutte pour recouvrer une mémoire qui lui échappe. Leur relation est mise à rude épreuve : six années de vie commune semblent s’être évaporées, et leurs cœurs tentent de se reconnecter — malgré l’ombre d’un oubli profond.

❤️ Une étincelle dans l’inconnu

Un regard, un lieu — l'affrontement silencieux entre le connu et l’étrange. Lorsqu’il la voit à l’hôpital, Ezra est submergé par des sensations inexplicables. Ariana, de son côté, doit décider si elle a encore une place dans un cœur qui semble ne plus la reconnaître…

Suspense, révélations et espoir

Secrets, rebondissements, lutte contre le destin : Justine Pottier tient parfaitement le lecteur en haleine. Ce second tome, aussi poignant que renversant, offre une conclusion qui surprend et émeut — loin de toute prévisibilité.